Les
survivants rentrèrent à leurs domiciles tant bien que mal,
attristés de la perte de leurs compagnons d'orgie, mais surtout
par la fin de l'érotocratie et le retour de la tyrannie.
La plupart de mes connaissances
avaient péri au combat. Valentin, Fabio, Jean de Nazir Khan, Théodore
de Chênevert, le comte Clément de Pittiglio, et le baron Bertrand
de Trinque avaient tous connu des fins plus ou moins abominables.
De retour à Ouest-Mont,
je fus quelques jours à me reposer. Puis, je décidai de me
rendre au logis d’Isabelle de Chérilus. Son mari, l'un des seuls
survivants, avait néanmoins perdu une jambe à la guerre,
et ne sortait plus de sa chambre. Isabelle était seule, car, depuis
notre défaite, les nobles libertins avaient peur de sortir de leur
demeure. Isabelle me reçut dans son boudoir parfumé de musc
et d'orchidées. Nous échangeâmes quelques propos dans
le but de stimuler l’inclination que nous avions l'un pour l'autre:
- Vos déclarations d'amour sont
délicates, me dit-elle, et vous semblez avoir un fort penchant pour
moi. Or, vous savez que j'ai comme règle de toujours changer d'amant,
afin de ne point me lasser.
- Chère comtesse, lui répondis-je,
votre refus est une cruauté. Vous témoigner mon amour et
vous avouer ma tendresse devrait être suffisant pour vous séduire,
mais laissez-moi renchérir, en vous promettant que jamais, avec
moi, vous ne vous ennuierez.
- Vous avez raison de prétendre
que je devrais m'offrir à vous, quoique vous soyiez plus stupide
qu'amoureux. Puisqu'il en est ainsi...
À ce moment, un valet
annonça l'archiduchesse de Belletête. La discussion porta
alors sur nos défunts camarades, mais, bien vite, nous fûmes
fatigués de nous plaindre de la sorte. J'anticipais une félicité
immense en compagnie de ses deux coquettes, et j'avais deviné juste.
Les deux femmes s'approchèrent de moi, et m'entourèrent amoureusement.
Je les embrassai, l'une après l'autre.
Les mains d'Isabelle de Chérilus
se mirent à me caresser le torse, et à défaire mes
vêtements. Au même moment, *** de Belletête lui touchait
les bras et les hanches.
*** déshabilla Isabelle
et me la montra.
Isabelle fit courir sa langue
sur mon torse nu. J'embrassai frénétiquement ***. Je me fis
un plaisir de dégrafer la robe de ***, et de révéler
ses seins. Isabelle prit mon membre entre ses mains habiles, et se mit
à me masturber avec doigté. Elle se mit ensuite à
genoux, et le prit tout entier dans sa bouche. Ma main
s'introduisit entre les cuisses de ***,
et frotta sa Chambre Pourpre qui commençait à s’humidifier.
Alors que les deux femmes
s'embrassaient, je me mis à explorer leurs corps avec mes mains
et ma langue. C'était une joie de les voir se caresser mutuellement
les seins, et de les faire entrer en contact. Les doigts d'Isabelle pénétrèrent
la Crevasse Dorée de ***.
Une servante vint essuyer
nos visages en sueur et nous rafraîchir avec des jus de fruits et
un éventail. Isabelle s'étendit à terre, et *** se
mit à lui sucer les mamelons. *** descendit ensuite, et se mit à
dévorer son Pot de Miel. Isabelle se caressait le ventre, et émettait
de longs gémissements de jouissance. J'observai cela d'un œil impassible.
Je remplaçai bientôt
***, qui se mit à me suçer la verge. Fou de désir,
je faisais aller mon linga dans sa bouche, imaginant que je la pénétrais.
Je m'étendis sur le
sol. Isabelle descendit sur ma Flûte, alors que *** s'assit sur ma
figure. Les deux femmes s'embrassaient, en bénéficiant ensemble
de mon corps. Mes mains alternaient entre les fesses de *** et les cuisses
marmoréennes d'Isabelle.
Après avoir fait l'amour
de cette manière pendant un bon moment, elles se relevèrent
et s'occupèrent exclusivement de moi.
Les deux femmes se mirent
à me sucer la verge. Ce faisant, je sentais que leurs langues entraient
en contact. Elles arrêtaient quelquefois pour s'embrasser passionnément.
Avec mes mains, je caressais leurs épaules et leurs chevelures,
tout en essayant de garder mon calme. Finalement, n'y tenant plus, je déversai
ma semence dans la bouche de ***, qui avala le tout.
Elles firent un 69. Isabelle
était au-dessus de ***. J'observai impassiblement l'art avec lequel
elles étaient en mesure de se donner du plaisir, prenant quelques
notes pour usage futur. Elles jouirent en même temps.
Solide à nouveau, je
me mis à prendre Isabelle par derrière. J'allais et venais
en elle, pendant que *** me léchait les testicules et la base du
phallus, ou encore le clitoris d'Isabelle. Cette dernière laissa
échapper un cri si violent… que son mari dut l'entendre.
Nous nous relevâmes.
*** me faisais dos. Mes mains empoignèrent fermement ses seins.
Isabelle tomba à genoux, et sa langue pénétra le Cabinet
Secret de ***. J'écartai ses fesses. Avec l'aide d'Isabelle, j'insérai
ma verge dans son anus. Je vins peu de temps après.
Gary
Del Monte
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