ÉROTOCRATIE
RETOUR DE MATHILDE
par Gary Del Monte
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   Mathilde revint sonner à ma porte. Elle était vêtue d'une robe de satin noir. Son corsage laissait voir ses seins fermes qui n'étaient néanmoins pas plus gros que deux oranges du Maroc. 

   J'avertis Stéphane que j'irais moi-même lui répondre. J'ouvris la porte, mais ne la laissai pas entrer. Elle me
jeta un regard suppliant, et s'agenouilla, pour pratiquer sur moi son art. 

   Elle prit ma verge et la tint dans sa main, pendant quelques instants. Puis, elle la plaça dans sa bouche et la
bougea entre ses lèvres. Je sentis ses dents mordiller lentement mon phallus. Soudain elle se mit à le presser
entre ses lèvres, puis à l'embrasser tout en le tirant vers l'extérieur de sa bouche d'un mouvement rapide. Ensuite elle positionna mon phallus au milieu de son orifice buccal, et se mit à l'embrasser et à le suçoter comme si c'était un fruit. 

   Je vins dans sa bouche, et elle avala le tout. J'entrai chez moi et elle me suivit… Je la fis s'asseoir sur un divan, et sortit mes pinceaux. Puis, je fis venir Stéphane, et lui dit de s'installer auprès de Mathilde. 

- Aujourd'hui, je veux peindre vos ébats, mes chers. Or donc déshabille-toi, Mathilde, et toi aussi, Stéphane ; et faites un soixante-neuf. 

   Stéphane se déshabilla, et se reposa sur le dos. Mathilde se défit de sa robe, et je pus admirer son corps
suave. Elle s'étendit sur lui. Stéphane introduisit sa langue comme si c'eut été un vit. Elle reprit, sur mon
domestique, la même besogne qu'elle avait exécuté sur moi. Mon pinceau, pendant une heure d’horloge, reproduisit, transposa cette union mystérieuse, sans que je ne permît à mes modèles de changer de position. 

- Que vas-tu faire de moi ? me demanda Mathilde après que Stéphane eut forçé la fin de leur coït. 
- Je consens à te garder ici, prisonnière, en l'honneur des merveilleuses nuits que tu m'as jadis fait passer.
Stéphane, ligote-là! 
- Fais-moi mal, Gustave... 

   Conformément à ce désir, je la fouettai, et la bastonnai… Ensuite, je fis son portrait alors qu'elle était nue et brutalisée. 

   On sonna. C'était ***. Je lui demandai si elle avait envie de performer devant moi une étreinte saphique avec une prisonnière que je tenais captive. 

- Pourquoi pas, répondit-elle. Au point où j'en suis. 

   Je détachai Mathilde, et l'offrit en pâture à *** qui s'était dévêtue elle aussi. Cette fois-ci, Mathilde sentit une langue féminine, plus experte que celle de mon domestique, explorer doucement sa fente humide. Puis la bouche de *** s'unit aux lèvres de Mathilde, et but à cette fontaine, jusqu'à ce que ma prisonnière atteigne l'orgasme. 

   Je la pris comme une bête dans les latrines. Ses jolis cheveux trempaient dans les déjections. 

- Je ne veux plus jamais te revoir, lui dis-je un peu plus tard. 
- Je ne comprends pas, Gustave… Tu seras puni. J'irai voir l'Inquisition. 
 
 

Gary Del Monte 
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