FEMMES APATRIDES
par Manulypuff
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Soupe au lait de la compagnie, exemplaire merveilleux de l’esprit tranchant, je nous amène vers moi égoïstement, pour vous faire découvrir les dessous du kilt, et rien d’autre. Mais que radote-t-il? C’est exactement cela, nous y sommes! Vive le paradoxe dans la merveille de la vie, ce brin de folie qui illumine notre espèce.

Je sabre le champagne pour vous, comme un bon cuisiniste, et respire les miracles olfactifs de mes fours en vous suggérant d’en faire autant! Bon, ne pensons pas uniquement à la cuisine et revenons à ce qui nous amène ici, l’intellect et le savoir. Ha! Ha! Je vous ai fait peur!! Ha oui… Humm…

Le Français est reparti dans son pays, en nous laissant en chômage de ces étranges pieds au plat, trait particulier de sa personnalité marquante et attachante, je l’avoue. Et son verbe merveilleux, oui, ce verbe: Euuh!. Allez, les Bleus, l’est reparti avec son Brest, et, nous, nous avons les bleus de lui… Schtroumpf, alors!

Ils n’en seront pas étonnés, ces comparses de Ma Commune, de me voir m’adresser à vous, mesdames, admiratrices et fidèles lectrices de ce pays d’Oz, car je ne pense qu’à vous…. Enfin direz-vous, ou encore: pas un autre!!! Bon. Je vous offre ici des bribes du moi réel, et ici ça plante, j’ai perdu tout mon texte et le reste……. Y‘a d’la poésie, pis un roman. Fuck! Câlice! Ciboire, tabarnak!
 
 

  Femmes Apatrides

Je ne crains point
Caresse humide
À quoi pourrais-je m’attendre,
Voix de cascade aux parfums féminins?
Je ne pourrais en avoir,
chaste basale aux pulsions charnelles criantes.

La bête ne peut s’empêcher de répondre
aux slaves que tu déverses en elle.
Froide, humide ou cascade.
Femme me cueillant, m’échancrant, me déposant,
me reprenant puis me baisant avec la fluidité des mots.

Le risque demeure un des grands
plaisirs de la vie car, il sait créer
l’étourdissement, l’ivresse, le délire, 
l’amour, la perdition, l’abandon, la colère, la haine...
Rien de tout cela ne m’effraie.

Je ne saurais seulement pas dire 
où tu m’as amené.

Laisse moi encore fantasmer...
Supplice, ta virginité...
Inonde la plaine, belle Océane...
Tu me déshabilles, je suis nu.
Nous sommes renards, je suis chimère.
Hmmm... humides songes apatrides
Agressions silencieuses
Deux regards qui discutent

« ...Come,
come to me,
i’ll take care of you... »
Tu me donnes de trop belles leçons
 
 

Manulypuff 
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